Entre transparence et storytelling : les nouveaux défis de la communication digitale

1. La transparence, pilier d’une confiance fragilisée

L’ère numérique a bouleversé les rapports entre les marques et leurs publics.
Autrefois vertical, le discours institutionnel est désormais scruté, commenté, vérifié en temps réel. Les crises de réputation, amplifiées par les réseaux sociaux, ont fait de la transparence une condition de survie.

Cette transparence ne se limite plus à la communication produit ou financière. Elle s’étend aux valeurs, aux pratiques internes, aux engagements sociétaux et environnementaux.

Les générations Y et Z, en particulier, attendent des entreprises qu’elles incarnent ce qu’elles prétendent être. Le consommateur-internaute n’est plus passif : il exige une authenticité observable.

La transparence devient ainsi un acte de courage. Elle suppose de dévoiler, parfois, les contradictions et les imperfections. Les marques les plus crédibles sont souvent celles qui assument leur part d’incertitude ou d’inachèvement : elles parlent vrai, sans prétendre à la perfection.

Dans un monde où les discours sont instantanément confrontés aux faits, la sincérité vaut plus que la performance rhétorique. Mais cette sincérité ne peut se réduire à la simple publication de données ou de chiffres : elle doit s’incarner dans le ton, dans le regard, dans la parole des personnes qui représentent la marque.

2. Le storytelling : une quête de sens dans un océan d’informations

Face à la surabondance de contenus, le storytelling reste l’un des rares outils capables de capter durablement l’attention. L’être humain est un animal narratif : il comprend le monde à travers les histoires. Ce besoin de récit ne disparaît pas à l’ère numérique — il se transforme.

Les entreprises ont longtemps utilisé le storytelling pour enjoliver leur image ou créer des mythes autour de leur marque.

Mais le public, aujourd’hui, perçoit rapidement la manipulation. Le storytelling n’est plus un exercice de communication, c’est un acte de vérité : il ne s’agit plus de raconter ce qu’on aimerait être, mais de mettre en récit ce qu’on est réellement.

Les formats évoluent eux aussi : capsules vidéo, témoignages, mini-documentaires, stories, podcasts… Les outils numériques offrent une liberté de ton et de rythme inédite. Mais le succès d’un récit ne dépend plus de sa mise en scène : il repose sur sa crédibilité émotionnelle.

Les marques qui marquent les esprits sont celles qui osent montrer les visages, les émotions, les parcours, les apprentissages. Elles privilégient le partage d’expérience à la promotion, le ressenti à la rhétorique. Le storytelling devient alors une pédagogie du réel : il relie les valeurs à la vie, le discours à l’action.

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3. ORIENTACTION : conjuguer sens, humanité et cohérence

Dans ce contexte, certaines entreprises parviennent à dépasser l’opposition entre transparence et storytelling en incarnant une communication sincère et incarnée.

C’est le cas d’ORIENTACTION, acteur majeur de l’accompagnement professionnel et leader du bilan de compétences en France.

Fondé en 2008 par Emeric Lebreton, docteur en psychologie, le groupe réunit aujourd’hui près de 1 000 consultants et a accompagné plus de 70 000 personnes. Dès ses débuts, ORIENTACTION a misé sur une communication centrée sur l’humain, la psychologie et le sens du travail, loin des modèles purement commerciaux.

Cette approche se traduit dans sa présence numérique. Sur son site et ses réseaux sociaux, ORIENTACTION publie des articles, des vidéos et des témoignages qui racontent de vrais parcours de vie.

Il ne s’agit pas de glorifier la réussite, mais d’expliquer les démarches, les doutes, les évolutions possibles — bref, de rendre visible la transformation humaine au cœur du changement professionnel.

De son côté, Emeric Lebreton, à travers sa chaîne YouTube et ses publications, incarne cette parole authentique. Ses réflexions sur le sens au travail, la motivation ou la connaissance de soi abordent les questions contemporaines sans détour, dans un ton accessible et sincère.

Cette stratégie repose sur une idée simple mais puissante : la communication ne doit pas seulement informer, elle doit éclairer. Chez ORIENTACTION, transparence et storytelling ne s’opposent pas — ils coexistent pour rendre visibles des vérités humaines : celles du doute, du choix et de la réinvention.

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Conclusion

Le grand défi des entreprises n’est plus de se rendre visibles, mais de rester crédibles.
Dans un monde où la confiance est devenue rare, la communication digitale doit se recentrer sur l’essentiel : la cohérence entre ce que l’on dit et ce que l’on fait.

Transparence et storytelling, loin de s’exclure, se complètent : la première fonde la confiance, le second donne du sens. Leur combinaison crée une communication plus mature, plus responsable, et surtout plus humaine.

Ce n’est plus seulement la marque qui parle : ce sont les personnes qui la composent, avec leurs mots, leurs émotions et leurs convictions. Et c’est peut-être là, dans cette parole imparfaite mais vraie, que se joue l’avenir de la communication.

Auteur : Dr Emeric Lebreton, docteur en psychologie, écrivain et PDG du groupe ORIENTACTION (24/10/2025)

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