Burn-out, anxiété, perte de sens : la santé mentale au travail est devenue une préoccupation majeure en France. Selon une étude récente de la DARES, près d’un salarié sur deux se dit stressé ou épuisé psychologiquement.
Si les entreprises multiplient les plans de bien-être ou les cellules d’écoute, ces initiatives interviennent souvent trop tard, une fois la crise déjà installée.
Et si, au lieu de réparer, on apprenait à prévenir ? À l’heure où le monde du travail se transforme profondément, la prévention pourrait bien devenir la clé d’une meilleure santé mentale collective.
👉 Cliquez ici pour engager un bilan de compétences avec ORIENTACTION et retrouver équilibre et sérénité au travail.
1. Un enjeu de société : comprendre les signaux faibles du mal-être
Les transformations rapides — télétravail, incertitudes économiques, injonctions à la performance — fragilisent les repères professionnels. L’isolement, la surcharge cognitive et la perte de reconnaissance nourrissent un stress chronique.
Pourtant, le mal-être au travail ne surgit pas soudainement : il s’installe progressivement, par petites déconnexions entre ce que l’on fait et ce que l’on voudrait faire.
C’est ici que la prévention prend tout son sens. Identifier les signaux faibles — démotivation, irritabilité, fatigue émotionnelle — permet d’agir avant que la souffrance ne s’installe. Certaines entreprises commencent à intégrer des indicateurs psychologiques dans leurs audits RH, à former les managers à la détection du mal-être, ou encore à instaurer des espaces de parole.
Ces démarches, encore trop rares, montrent que le bien-être mental n’est pas une question de confort, mais de performance durable.
2. De la culture du « tenir » à celle du « prendre soin »
Pendant longtemps, le monde du travail a valorisé la résistance : savoir encaisser, ne pas flancher, prouver sa solidité. Cette culture du « tenir bon » a conduit à une banalisation du stress et à la sous-estimation de ses conséquences sur la santé.
Aujourd’hui, les neurosciences et la psychologie démontrent pourtant qu’un cerveau soumis en permanence à la pression perd en créativité, en capacité d’analyse et en empathie — autant de qualités indispensables dans les métiers de demain.
La prévention passe donc aussi par un changement de culture : redonner droit à la vulnérabilité, encourager la régulation émotionnelle, créer des environnements de travail plus humains.
Certaines entreprises testent des modèles innovants : semaines de quatre jours, espaces de déconnexion numérique, programmes de méditation ou de cohérence cardiaque. L’objectif n’est pas d’instaurer des « pansements » bien-être, mais de favoriser une véritable écologie mentale.
👉 Découvrez comment un bilan de compétences ORIENTACTION peut prévenir le burn-out et redonner du sens à votre vie professionnelle.
3. Le bilan de compétences : un outil de prévention et de reconstruction
Parmi les leviers efficaces pour prévenir la souffrance au travail, le bilan de compétences occupe une place à part. Une étude menée par Asterès en 2023 a montré que les personnes ayant réalisé un bilan de compétences présentaient une réduction significative de leur stress, de leur sentiment d’inefficacité et de leur anxiété professionnelle.
En d’autres termes, ce dispositif, souvent perçu comme un outil de reconversion, agit aussi comme un puissant vecteur de santé mentale.
Chez ORIENTACTION, leader national de l’accompagnement professionnel, le bilan de compétences est conçu comme une démarche de connaissance de soi, de réconciliation avec ses valeurs et de projection vers un futur professionnel plus aligné.
Loin d’être un simple exercice d’évaluation, il permet de redonner du sens à sa trajectoire, de retrouver confiance et motivation.
Cette philosophie s’inscrit dans la vision d’Emeric Lebreton, docteur en psychologie et fondateur d’ORIENTACTION. À travers ses nombreux ouvrages — Ce que j’aimerais te dire, Faites-le maintenant, La Psy’Action, Rallumez les étoiles, Mon auto-thérapie, ou encore Aussi serein qu’un arbre — il défend une approche globale du développement personnel : comprendre ses émotions, redonner du sens à l’action et reconnecter le mental au corps pour mieux vivre et mieux travailler.
👉 Prenez soin de votre santé mentale : réalisez un bilan de compétences avec ORIENTACTION dès aujourd’hui.
Conclusion
Prévenir plutôt que guérir : tel pourrait être le nouveau credo du monde du travail. Face à la montée des troubles psychologiques, il ne s’agit plus de traiter les symptômes, mais d’agir sur les causes profondes — manque de sens, déséquilibre, absence de reconnaissance.
En replaçant l’humain au cœur de la performance et en valorisant des démarches introspectives comme le bilan de compétences, la société redonne à chacun le pouvoir de se comprendre et de s’épanouir durablement.
Car la véritable prévention, c’est peut-être celle qui commence par soi.
Auteur : Dr Emeric Lebreton, docteur en psychologie, écrivain et PDG du groupe ORIENTACTION (29/10/2025)
***
➡️ Découvrez les effets du bilan de compétences sur la santé mentale en vidéo
➡️ Cliquez ici pour découvrir la formation « Premiers soins en santé mentale » et apprendre à repérer les signaux de détresse au travail.
➡️ Procurez-vous Faites-le maintenant ! d’Emeric Lebreton, un guide pour renforcer votre santé mentale et votre confiance intérieure.
Après le burn-out, le « bore-out » et le « brown-out », voici l’ère du « blur-out »
8 min. de lecture
Quand la technologie promet d’améliorer la santé mentale… mais risque aussi de la fragiliser
7 min. de lecture
Thérapie médicale : comprendre, préparer et agir pour mieux se soigner
4 min. de lecture
Nouveau : testez gratuitement vos “soft skills” avec ORIENTACTION
2 min. de lecture
Se reconstruire après un burnout : pourquoi le bilan de compétences ORIENTACTION peut vous y aider ?
2 min. de lecture
Reconversion professionnelle à 30 ans : faire un bilan de compétences pour sécuriser sa transition
4 min. de lecture
